Biographie
28 ans : 20 ans de musique…
Florent est né en 1977 dans la région Grenobloise.
A l'âge de 7 ans, il se met à la musique. Son premier instrument :
la trompette. Apr ès une formation de musique classique, quelques
passages dans des orchestres harmoniques et symphoniques,
il découvre le jazz et s'initie à l'improvisation dans un quintette.
Dans les années 90, il travaille la basse et la guitare et fait ses premiers arrangements au clavier. C'est l'époque des groupes de rock puis de reggae. C'est alors qu'il écrit et compose ses premiers morceaux.
En 2000 son destin le mène à Besançon. Il ré-embouche alors la trompette dans le groupe de salsa " Mescla Latina ". Tout en jouant sur les scènes régionales, il continue à écrire chansons et musiques, au piano ou à la guitare.
En 2002, il décide de se consacrer entièrement à la composition d'un tour de chant.Un univers intime, tendre, un brun dérisoir
Il chante l'amour sous toutes ses formes : le réveil auprès de sa douce dans une chambre de bonne (" Le ballet des mouettes "), le désir ardent d'une femme d'avoir un enfant (" Vieille mère ").
Mais aussi les tracas du quotidien, les jours où c'est " Le chaos dans la tête ", habité par la crainte de l'amour qui s'enfuit (" J'ai peur qu'un de ces matins ").
Florent invite aussi au voyage (" Le tour du monde "). Il se glisse dans la peau de personnages pittoresques (" Joseph " le saltim-banque, son amie " La dilettante ") ou d'objets incongrus (" La vieille horloge de la gare ").
Cet univers serait incomplet sans mettre en musique des poètes tels que Prévert ou faire un clin d'il à des chanteurs disparus comme Bobby Lapointe, Gainsbourg ou Brassens.
Des douces valses au piano à la pompe de la guitare manouche
Florent s'accompagne à la guitare ou au piano. Ses chansons vous emmènent dans une diversité musicale et rythmique allant des douces valses au piano (" Mes parents ont 50 ans ") à la pompe de la guitare manouche (" On s'est connu dans un landau "), en passant par des mélodies évoquant les comptines de notre enfance (" Les deux escargots qui vont à l'enterrement d'une feuille morte ").
Il n'oublie pas non plus le balancement suave de la bossa nova (" Oh mon amour ") ou encore le groove du blues et du reggae (" Afrique ").